Par : Tamime Khemmar
Comme pour tout culte qui s’approche de sa fin, il est très opportun de la part du croyant et de la croyante de multiplier la demande du pardon : al-‘istighfâr.
En effet, qui d’entre nous est sûr que son jeûne, sa salât, son aumône et le reste de ses actes de dévotion ont été acceptés par Allah ?
Personne !
Au contraire. Nous nous reprochons tous une faiblesse dans l’adoration et un manque d’effort lors de ce mois quand ce n’est pas des péchés que nous avons commis, qu’Allah nous les pardonne.
Rattrapons-nous tant qu’il en est toujours temps par la demande du pardon qui n’est pas très difficile mais qui doit être accompagnée d’un cœur éveillé qui se dirige vraiment vers son Seigneur et qui lui dit :
(Allâhoumma (Ô Allah), Tu es Rabbî (mon Seigneur), nulle divinité ne mérite l’adoration hormis Toi. Tu m’as créé et je suis Ton serviteur. Je demeure accomplissant Ton alliance et Ta promesse tant que je peux. J’invoque Ta protection contre le mal que j’ai commis. Je reconnais devant Toi la grâce que Tu m’as accordée, et je reconnais ma faute. Pardonne-moi donc, car il n’y a que Toi qui pardonnes les fautes.)