Moins de deux semaines après le début de son fonctionnement, le quai flottant douteux à Gaza, installé par les États-Unis a de nouveau été endommagé en raison de conditions météorologiques difficiles.

Des soupçons qui se confirment.

Le quai avait coûté 320 millions de dollars et mobilisé 1000 personnes pour sa construction et son fonctionnement. Personne ne peut croire que cet argent a été investi pour acheminer de l’aide humanitaire à Gaza.

Comme le rapportent les médecins et humanitaires internationaux, l’aide humanitaire se trouve à seulement quelques kilomètres des Gazaouis, bloquées par Israël.

Dans un témoignage bouleversant, l’urgentiste français, Pascal André, informe que les denrées alimentaires pourrissent entassées dans des camions qui ne passent pas avec les médicaments et le matériel médical. Alors que les soignants peinent à soigner les blessés à cause du matériel défectueux.

Tout ceci montre que le quai flottant américain trompe l’opinion publique mondiale concernant l’aide humanitaire.

Le quai de la honte.

Le quai flottant américain viserait plutôt à couvrir le soutien de Washington à Israël avec des armes.

Il n’a d’ailleurs apporté aucune contribution pratique pour alléger la crise humanitaire. La famine se répand de plus en plus dans toute la bande de Gaza en raison du blocus continu.

Les spécialistes ont estimé que les Gazaouis avaient besoin de 600 camions par jour contre la crise humanitaire.

Les États-Unis avaient annoncé une capacité du quai de seulement 150 par jour. Depuis son installation, 95 camions sont passés par le quai, 95 en 12 jours.

Plusieurs sources informent que les 569 tonnes d’aide humanitaire entrées par le quai n’ont même pas été correctement distribuées par « manque de logistique ».

« Comme si la nature à Gaza se battait aux côtés de son peuple. »

Des témoins rapportent que la marine américaine a remorqué entièrement le quai de la mer de Gaza vers les territoires occupés dans la ville d’Ashdod pour réparation.

Depuis son installation, le quai a connu des pannes consécutives à cause de fortes vagues. Gaza est pourtant connue pour sa mer calme. Le journaliste palestinien Mouhammad Ibrahim a déclaré : « Gloire à Allah, c’est comme si la nature à Gaza se battait aux côtés de son peuple. »

Qu’Allah secoure nos frères et leur accorde le plus haut degré du Paradis en récompense de leurs dures épreuves.

 

 

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