Par Tamime Khemmar.
Consolons les pauvres et répandons un esprit de solidarité :
La joie de l’Aïd ne sera complète que si tous les musulmans sont heureux, les riches comme les pauvres. Ceci ne sera possible que si nous associons nos pauvres parents et nos voisins nécessiteux dans notre joie en leur donnant une part de ce que nous avons, afin qu’ils profitent de cette fête comme nous en profitons et que leurs enfants s’amusent comme nos enfants le font.
C’est pour cela que zakât Al-Fitr fut prescrite par Allah, soubhânah, afin de donner aux pauvres de quoi manger ce jour de fête et que personne n’ait faim.
Question : Doit-on visiter seulement ceux qui nous rendent visite ?
Certaines personnes s’excusent pour le fait de ne pas visiter leurs parents en disant que ceux-ci ne leur rendent pas visite. Or, le Prophète [ﷺ] a dit que celui qui préserve ses liens de parenté n’est pas celui qui rend les visites qu’on lui fait, mais c’est celui qui visite ceux qui négligent de lui rendre visite.
Or, l’un des buts essentiels de cette fête qui rassemble tous les musulmans est de se retrouver ensemble, corps et âme, et ceci est encore plus nécessaire entre les membres d’une même famille et entre les amis.